La boîte de vitesse sert à changer les vitesses d'une voiture, selon le principe de la démultiplication, elle permet de demander moins d'effort au moteur (mais plus de puissance, soit moins de tours/minute mais des tours plus performants).
À l'exemple d'un vélo, lorsqu'on demarre (on s'élance), il est préférable d'être dans la vitesse la plus réduite car il est compliqué de délivrer beaucoup de puissance à une vitesse faible (sans élan il est plus difficile de sortir la dite puissance d'un coup). Cependant, pour compenser, nous devons pédaler plus pour ne pas tomber.
Comme sur un bicycle, la boîte de vitesse est dispensable, seulement, sans elle, un effot (presque) insurmontable sera demandé au moteur. Pour imaginer cela, imaginez, dans la vitesse la plus haute de votre vélo monter une pente (colline, montagne...). Les vitesses sur un vélo sont crées à partir d'un système de courroies et de couronnes, et c'est le même sytème dans un véhicule, en plus complexe.
Dans une voiture, c'est pareil, lorsque on démarre, nous devons absolument conserver un certain élan (comme dans notre exemple, en ne pédalant pas on tombe, le moteur suit exactement cette réalité). En fait, sans cet élan, compris en 800 et 1000 tours par minutes dans les moteurs actuels, l'explosion (ou combustion) ne peut se réaliser, c'est pourquoi le moteur tourne toujours, même à l'arrêt (si la voiture est démarée et hors système start and stop)
Donc pour résumer, le moteur fait tourner le vilebrequin, relié au volant moteur, assurant le lien entre la boîte de vitesse faisant elle même tourner les cardan et pour finir les roues.

Comme sur un bicycle, la boîte de vitesse est dispensable, seulement, sans elle, un effot (presque) insurmontable sera demandé au moteur. Pour imaginer cela, imaginez, dans la vitesse la plus haute de votre vélo monter une pente (colline, montagne...). Les vitesses sur un vélo sont crées à partir d'un système de courroies et de couronnes, et c'est le même sytème dans un véhicule, en plus complexe.