Description
Pour comprendre pourquoi il y a de la portance et de la déportance lorsque une voiture est en mouvement, intéressons-nous tout d'abord au bilan des forces d'une voiture en mouvement (au dessus).
Quand les roues tournent, les pneus frottent le sol, cela crée donc de la résistance au sol.
Cette force de frottement est néanmoins compensée par la poussée produite par le moteur (l'accélération).
L'autre force de frottement principale, la trainée, représentant le frottement de l'air sur le véhicule est elle aussi compensée par la poussée (ou traction).
Alors en fait, ce qui se passe, pour la création du phénomène de portance, c'est que l'air circule en plus grande quantité en dessous de la voiture (l'air n'a pas d'obstacle, c'est plat, il circule donc plus facilement).
Il y a donc une surpression en dessous de la voiture car la vitesse de l'air y est plus élevé qu'ailleurs autour de la voiture.
Il existe aussi l'inverse d'une surpression, une dépression, elle est créee volontairement par le constructeur automobile.
En fait, sans la dépression, la voiture volerait par moment (durant les grandes accélérations, les défauts de la route...), à la manière d'un avion, mais dans le domaine automobile nous ne voulons absolument pas cela car le moment pendant lequel la voiture vole représente un temps où l'on perd de l'accéleration
Le temps pendant lequel la voiture est en l'air est le temps pendant lequel nous ne pouvons accélérer (évidemment avec la pédale on peut toujours accélérer mais les roues ne touchant pas le sol, les roues tournent dans le vide et donc l'accélération ou l'énergie de l'accélération est perdue).
Donc, plutôt que de perdre cette énergie, les fabricants ont trouvé différentes méthodes pour plaquer les voitures contre le sol.
Par exemple, chez Lotus, les ingénieurs ont inventé des "ailes" inversées à l'avant permettant d'exploiter le phénomène de déportance et donc d'appuyer la voiture sur le sol proportionnelement à la vitesse (à voir sur l'image ci-contre).
Quand les roues tournent, les pneus frottent le sol, cela crée donc de la résistance au sol.
Cette force de frottement est néanmoins compensée par la poussée produite par le moteur (l'accélération).
L'autre force de frottement principale, la trainée, représentant le frottement de l'air sur le véhicule est elle aussi compensée par la poussée (ou traction).
Passons maintenant aux choses sérieuses, comment est il-possible qu'il existe une force de portance et de déportance dans une voiture ?
Alors en fait, ce qui se passe, pour la création du phénomène de portance, c'est que l'air circule en plus grande quantité en dessous de la voiture (l'air n'a pas d'obstacle, c'est plat, il circule donc plus facilement).
Il y a donc une surpression en dessous de la voiture car la vitesse de l'air y est plus élevé qu'ailleurs autour de la voiture.

Il existe aussi l'inverse d'une surpression, une dépression, elle est créee volontairement par le constructeur automobile.
En fait, sans la dépression, la voiture volerait par moment (durant les grandes accélérations, les défauts de la route...), à la manière d'un avion, mais dans le domaine automobile nous ne voulons absolument pas cela car le moment pendant lequel la voiture vole représente un temps où l'on perd de l'accéleration
Le temps pendant lequel la voiture est en l'air est le temps pendant lequel nous ne pouvons accélérer (évidemment avec la pédale on peut toujours accélérer mais les roues ne touchant pas le sol, les roues tournent dans le vide et donc l'accélération ou l'énergie de l'accélération est perdue).

Par exemple, chez Lotus, les ingénieurs ont inventé des "ailes" inversées à l'avant permettant d'exploiter le phénomène de déportance et donc d'appuyer la voiture sur le sol proportionnelement à la vitesse (à voir sur l'image ci-contre).